Bébert, Rouletabille, Totor, Galurin et Mounir sont les héros loufoques et sympathiques de ce roman déjanté et totalement hilarant !
La société de consommation y est poussée à l’extrême, conditionnant l’être humain, comme les chiens dans l’expérience de Pavlov, qui variait les stimuli avant la présentation des aliments et découvrit ainsi les lois fondamentales des réflexes conditionnels.
De plus, des outils de mesure et de contrôle les plus farfelus et les plus grotesques ont été mis en place par l’État pour surveiller la bonne conduite des citoyens dociles et obéissants.
Des situations délirantes, basées sur des faits divers réels, donnent à l’auteur toute l’amplitude nécessaire pour exercer une plume acide, cynique, désopilante, et ce, pour notre plus grande joie !
Les chiens de Pavlov est le quatrième roman de José Herbert, instituteur, passionné d’histoire, et amoureux de la langue française, celle de Rabelais ! L’auteur nous invite à regarder une société qui n’offre qu’une illusion de liberté, tant sont puissants les conditionnements de toutes sortes, et insidieux, sournois, hypocrites les efforts des pouvoirs publics pour faire de nous des moutons bêlant la même chanson.
Les principaux personnages :
Bébert, Rouletabille, Totor, Galurin et Mounir : cinq amis, bon vivants, attachants et complètement fous !
Marie, la joliette, énigmatique et secrète, au comportement étrange, dont les maris tombent comme des mouches.
Joseph, croquemort, second époux de Marie, faisant commerce de la mort à grand renfort de publicité d’un goût douteux…
L’environnement :
Des individus dociles et obéissants, des appartements équipés de matériel informatique dernier cri permettant de contrôler les citoyens dans leurs faits et gestes quotidiens : obligation de manger cinq fruits et légumes par jour, interdiction de fumer même chez soi, marcher pour entretenir sa forme, etc.
Bref, une véritable dictature du paraître et de la bonne conduite sous couvert de veiller à la santé physique et mentale des citoyens.
Les situations rocambolesques s’enchainent, à un rythme effréné, toujours basées sur des faits divers réels, amplifiés jusqu’à l’absurde.
C’est drôle, déjanté, et délicieusement cynique…
L’histoire :
Tout débute par la mort d’un enfant. Marie, sa mère, décide de le conduire seule jusqu’à sa dernière demeure, couvrant son cercueil blanc de multiples empreintes de ses mains, de toutes les couleurs, comme si elle voulait accompagner et protéger son enfant au-delà de la vie (fait divers réel). Elle parcourt seule le chemin jusqu’à l’église, tirant une charrette sur laquelle elle a hissé le cercueil de son fils. Cette image poétique et singulière va bien entendu attirer les journalistes, les télévisions à la recherche d’images et de sensations fortes, les politiques en mal de notoriété et les publicitaires en masse. La société de consommation apparaît alors dans tout ce qu’elle a de malsain, motivée par le profit jusqu’à l’écoeurement. C’est alors que tout part en vrille !...
Le propos défendu :
José Herbert nous invite à regarder une société qui n’offre en réalité qu’une illusion de liberté, tant sont puissants les conditionnements de toutes sortes, et insidieux, sournois, hypocrites les efforts des pouvoirs publics pour faire de nous des moutons bêlant la même chanson. Debout les morts, la vie n’attend pas !
Bébert, Rouletabille, Totor, Galurin et Mounir sont les héros loufoques et sympathiques de ce roman déjanté et totalement hilarant !
La société de consommation y est poussée à l’extrême, conditionnant l’être humain, comme les chiens dans l’expérience de Pavlov, qui variait les stimuli avant la présentation des aliments et découvrit ainsi les lois fondamentales des réflexes conditionnels.
De plus, des outils de mesure et de contrôle les plus farfelus et les plus grotesques ont été mis en place par l’État pour surveiller la bonne conduite des citoyens dociles et obéissants.
Des situations délirantes, basées sur des faits divers réels, donnent à l’auteur toute l’amplitude nécessaire pour exercer une plume acide, cynique, désopilante, et ce, pour notre plus grande joie !
Les chiens de Pavlov est le quatrième roman de José Herbert, instituteur, passionné d’histoire, et amoureux de la langue française, celle de Rabelais ! L’auteur nous invite à regarder une société qui n’offre qu’une illusion de liberté, tant sont puissants les conditionnements de toutes sortes, et insidieux, sournois, hypocrites les efforts des pouvoirs publics pour faire de nous des moutons bêlant la même chanson.
Auteur : José HERBERT Nbre de page : 330 pages – broché
Genre : roman / comédie burlesque Parution : Octobre 2012
Format : 15 x 21cm ISBN : 978-2-918078-29-6
PP : 18€ PU HT : 16.82€
Diffuseur : CED (Centrale Édition Diffusion) – www.diffusion-ced-cedif.com
Distributeur : DAUDIN Distribution - www.daudin.fr
EDITIONS ATRIA - 4120 route de Tournai - 59500 Douai
Tél : 03 27 94 69 53 – Fax : 03 27 94 69 31– www.editionsatria.com
Nouveauté
Diffuseur : CED (Centrale Édition Diffusion) – www.diffusion-ced-cedif.com
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Tél : 03 27 94 69 53 – Fax : 03 27 94 69 31– www.editionsatria.com
Décorations : palmes académiques, médaille d’argent USEP, médaille des donneurs de sang. Jamais fait la guerre ! Heureusement, j’aurais fui !
Actuellement : écrivain (!!!), trésorier association Aide aux devoirs, Délégué départemental Education Nationale, Administrateur centre communal action sociale.
Quels sont vos centres d’intérêts ?
La lecture et l’écriture, le vélo en été et… la solitude. Et d’autres choses, mais inavouables (non je blague !)
Pas chasseur, pas pêcheur, pas bricoleur (beurrk !).
Vos oeuvres et auteurs de références ?
J’aime les oeuvres qui dérangent. En littérature, Victor Hugo et sa dernière journée d’un condamné (pièce maîtresse de l’Humanisme avec un grand H), Huysmans et son là-bas, Nabokov et sa Lolita, Philippe Claudel et son rapport de Brodeck, Jean Teulé et son Montespan, ainsi que Mangez-le si vous voulez, Les bouquins de Houellebecq, la poésie du Moyen-âge, Rabelais.
Ce que vous souhaitez partager avec vos lecteurs à travers vos ouvrages ?
Une certaine vision de la vie et de la Société : le côté loufoque des choses. La folie, l’extravagance, le farfelu, le bizarroïde, l’aberrant, le saugrenu, le déjanté, le timbré.
Qui êtes-vous ?
Je suis un individu de sexe masculin, âgé de 67 ans, retraité de l’Education Nationale, nostalgique du bon vieux temps du cinéma muet, qui eut jadis de multiples activités, professionnelles, associatives, personnelles : recherche en histoire locale, secrétaire de mairie, secrétaire CCAS, secrétaire AFR, trésorier association Tic-Tac (groupement d’écoles), délégué USEP, correspondant de la Voix du Nord, etc.
José HERBERT